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QUIZ N°4

À l’occasion de la première Cancer pride, le 13 avril 2019, nous avons réalisé des quiz sur l’activité physique. Testez-vous sur nos 5 questionnaires !

Attention : nos quiz ont vocation à vous sensibiliser. Nous évoquons dans nos réponses des études scientifiques, mais les résultats trouvés pour un lymphome ne peuvent être appliqués à d’autres pathologies cancéreuses. Si vous vous posez des questions sur l’activité physique et que vous êtes est traitement… Parlez-en à votre médecin !

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Résultats

Bravo ! Tu fais partie de ceux qui ont bien compris les bienfaits de l’activité physique en prévention et dans le traitement d’une maladie. Alors, à toi de diffuser le message 🙂

Ce quiz a peut-être attisé ta curiosité ? Complète tes connaissances en lisant quelques articles sur www.maladesdesport.fr !

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#1. Peut-on pratiquer tous les sports quand on a un cancer ?

Il y a très peu de contre-indications pour les différents cancers. Les métastases osseuses doivent présenter une attention particulière avec les mouvements, mais ne donnent pas obligatoirement de contre-indication sportive. Chaque pathologie peut être adaptée afin de trouver une activité physique adaptée, en toute sécurité. Des professionnels de santé (APA, médecins, kinésithérapeutes, éducateurs diplomés) sont là pour ça. Spécialiste de la douleur à Marseille, le docteur Ranque-Garnier explique : “Il n’y a pas de bon ou mauvais sport ; ce qui importe, c’est la manière de pratiquer.”

#2. Suffit-il de faire du sport pour guérir du cancer ?

Le sport ou l’activité physique n’est pas un remède miracle. L’automédication est un fléau et conduit souvent à de tristes finalités. Aujourd’hui, l’AP est un soin de support reconnu et permet souvent une meilleure réponse aux traitements. Le suivi médical est obligatoire.

#3. Les recommandations d’AP pour les seniors sont-elles moins importantes, à cause de l’âge ?

Au contraire, l’OMS fixe les recommandations à 150 min d’AP modérée/ semaine, et insiste sur l’importance de pratiquement du renforcement musculaire en complément (montée d’escaliers, travail d’équilibre…) afin de garder un maximum d’autonomie.

#4. L’inactivité physique est synonyme de la sédentarité.

On peut être actif, et faire une heure de sport par jour, et être malgré tout sédentaire, en restant assis plus de 7 heures par jour.

#5. On peut mourir de la sédentarité.

Il serait trop direct de l’affirmer. En revanche, la sédentarité est un facteur de risque pour de nombreuses pathologies. Être sédentaire augmente de 15 % le risque de mortalité, et ce indépendamment du niveau d’AP : c’est un facteur de risque pour le diabète, les maladies cardio-vasculaires, et les cancers du côlon, de l’endomètre et du poumon.

#6. La perte de masse musculaire induite par certains traitements est irréversible.

Les traitements provoquent une fonte musculaire appelée sarcopénie, à cause d’un processus inflammatoire. L’activité physique adaptée permet de contrer cet effet en grâce à un dosage suffisant de contractions musculaires.

#7. La majorité des patients affirment avoir perdu du poids pendant leur traitement. Quelle est la fourchette de perte la plus courante ?

Selon l’étude Nutricancer 2007, 35 % des patients affirment avoir perdu entre 6 et 10 kg. On parle alors de dénutrition, qui est définie par la perte involontaire de 10 % minimum de son poids. Elle est souvent provoquée par des cancers digestifs ou avec une grosse masse tumoral, à l’instar du cancer du poumon, mais aussi par des traitements agressifs : greffes de moelle, radiothérapie au niveau du système digestif…

#8. La pré-habilitation, qui fait commencer une activité physique dès l’annonce du diagnostic, et notamment avant une opération, peut-elle permettre à des malades d’augmenter leur condition physique ?

Plusieurs études le montrent. L’une, en 2014, avec des patients atteints d’un cancer colorectal, avec un groupe ayant fait des exercices d’aérobie avant l’opération, et un second groupe après – le premier groupe avait gagné 23,7 mètres sur le test de marche de 6 minutes, le second avait perdu 21,8 mètres. De même, une étude de 2015 montrait qu’après un programme d’entraînement de 6 semaines à vélo, les patients atteints d’un cancer du rectum avaient vu leurs capacités cardio-respiratoires augmenter. Intéressant quand on sait que la chimiothérapie peut faire baisser ces capacités.

#9. Quel est le principal bienfait de l’activité physique pratiquée pendant les traitements ?

L’activité physique permet de ressentir des bénéfices sur l’ensemble de la qualité de vie : amélioration du sommeil, baisse de l’anxiété, meilleure estime de soi, baisse de la perception de la douleur, ou encore meilleur appétit.

#10. Aujourd’hui, il suffit d’un diplôme de coach sportif pour encadrer un patient atteint de cancer.

D’après la loi Sport sur ordonnance, tout le monde ne peut pas prendre en charge les patients. En fonction de leur limitations fonctionnelles, seuls les kinés, les ergothérapeutes ou les enseignants en APA peuvent encadrer les malades. Quand les limitations sont modérées, les éducateurs sportifs titulaires d’un diplôme spécifique ont également cette capacité. Attention donc à bien vérifier les qualifications des professionnels.

#11. Une personne active “coûte”-t-elle moins chère à la sécurité sociale, qu’une personne inactive ?

Selon le Conseil national des activités physiques et sportives, une personne qui respecte les recommandations de l’OMS (30 min/jour) ferait faire 250 euros d’économie par an à la Sécurité sociale.  

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